Crowdfunding : ce qu’il faut savoir avant d’investir

Aujourd’hui, la France est un des leaders européens du financement participatif en ligne ou crowdfunding. Il s’agit d’un mode de financement qui a vu le jour avec la récente crise économique et financière et qui est très apprécié par les professionnels et particuliers à la recherche de fonds. Cependant, il s’agit d’un système qui n’est pas sans risques et il est bien possible de réaliser des pertes, surtout si l’activité n’est pas basée sur le don. Nous avons alors tenu à relever les différents éléments qu’il est indispensable de savoir pour réussir.

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Prendre conscience de la destination des fonds

Le risque initial, selon l’autorité des marchés financiers (AMF), c’est sans doute le fait de perdre tout ou partie du capital investi ou des fonds prêtés, surtout en cas de difficultés de l’entreprise ayant bénéficié de l’investissement. Dès lors, il est important de connaitre la destination des fonds, surtout lorsque la plateforme ne relève pas d’un statut règlementé. Il est aussi important de vérifier que l’organisme que vous financez est autorisé à exercer sur le territoire français. Bien entendu, il faut vous renseigner pour savoir si le projet proposé est adapté à vos attentes avant d’investir entreprise internet.

Vérifier la nature et la transparence de l’opération

Les particuliers souhaitant investir entreprise internet doivent se renseigner sur la nature de ce projet avant de s’engager. Ils doivent aussi se renseigner sur la nature de l’opération proposée et sur les obligations pesant sur la nature du crowdfunding. Ensuite, en fonction du type d’investissement, il faudra vérifier au niveau de l’entreprise qu’un prospectus visé par l’AMF a été délivré. Par ailleurs, il faudra vous renseigner les modalités de rachat ou de sortie de votre investissement en cas de financement participatif au capital. Dès lors, une bonne information de l’épargnant était prévue en cas de financement participatif en capital.

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Anticiper les avantages fiscaux

Il faut dire que les dispositifs fiscaux qui sont mis en place sont très incitatifs lorsqu’il s’agit d’entrer ou de sortir dans un capital. Cependant, ils ne sont pas cumulables, comme c’est le cas au Royaume-Uni. Dès lors, à l’entrée, vous pouvez réduire votre impôt sur l’ISF (à la limite de 45.000 euros). Il est aussi possible de le réduire sur l’impôt sur le revenu (à hauteur de 18% sur le montant). Par ailleurs, il est possible d’être exonéré d’impôts sur les plus-values lors des investissements. Ce qui est un dispositif de plus pour faciliter l’investissement.

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